14 févr. 2021

Jamais deux sans trois


Et si le modèle unique du couple monogame, exclusif, je-me-toi-nous, était aux soins intensifs lui aussi ? Manque d’oxygène, bas les masques, désir en panne, la débandade intime. Un tabou, certes, mais saluons les efforts d’un nombre croissant de valeureux pour secouer la dyade pérenne, même si cela complique les Saint-Valentin.

Le libertinage n’est pas né d’hier, mais une tendance semble vouloir s’incruster, surtout chez les millénariaux, celle des relations non monogames consensuelles (NMC). Le dernier mot est important. Si c’est bon pour pôpa, c’est bon pour môman.

- Le Devoir