La BD pour adultes a perdu une de ses vocations premières : la
masturbation. Autobiographique ou décalée, elle fait travailler le
fantasme et enterre une bonne fois pour toutes les soubrettes et les
parties de cul en costume qui la ringardisaient. Les BD érotiques et
porno ne se planquent plus au fond des librairies et exhibent désormais des univers graphiques et des scénarios élaborés.
-Rue89