Un matin de la fin du mois de janvier, Jacques-André Istel se
réveilla dans sa villa de Felicity, en Californie. Après une série de
100 pompes et de 125 flexions, il fit quelques longueurs dans sa
piscine, luxueusement éclairée, puis remonta à l’étage où il déjeuna au
lit comme il en avait pris l’habitude depuis son enfance à Paris. Dans la foulée, il enfila une chemise bleue et noua un foulard ascot
autour de son cou, avant de se rendre à son bureau sis au 1, place du Centre du Monde.
-Rue89