28 août 2017

Jusqu’au bout du monde avec Despentes - La trilogie «Vernon Subutex» trouve une fin brutale et magistrale


La France est sale, elle pue, elle s’effondre, se perd dans ses angoisses et ses contradictions, à en croire Virginie Despentes, romancière punk, chroniqueuse sur l’acide d’un présent qui s’enfonce, et qui poursuit son étude des moeurs d’une société en décrépitude avec le troisième et ultime chapitre de son Vernon Subutex. Une conclusion qui fait rimer brutal avec magistral. Forcément.

-Le Devoir