10 nov. 2017

Le fantasme assouvi de Jean-Louis Tripp


Avec «Extases», le bédéiste se met à nu pour parler plaisir, politique et émancipation. Drôle d’idée que d’inviter le bédéiste Jean-Louis Tripp dans un café baptisé « La graine brûlée », à deux pas du Devoir, pour discuter de sa toute dernière oeuvre, intitulée, elle, Extases (Casterman). À des années-lumière de la gentille série Magasin général, qu’il a cosignée dans les dernières années avec son pote et complice de toujours Régis Loisel, l’auteur y dévoile son intimité dans ce qu’elle a de plus sexué. Sans concession.

-Le Devoir